vendredi 18 mai 2012
Un petit mot de la fin…
Toutes bonnes choses à une fin comme qui disent. Je
souhaite mentionner que j’ai vécu une expérience très enrichissante dans le
cours : Comment survivre au progrès.
Je me sens même privilégiée d’avoir pu faire partie de cette expérience que je
n’oublierais jamais. Je vais m’ennuyer de la petite famille qu’on s’est créée,
j’ai rencontré plein de gens intéressants! Finalement, je souhaite remercier
les professeurs qui ont travaillé fort pour rendre ce cours le plus intéressant
et enrichissant possible et c’est mission réussie! Je me considère maintenant
une personne meilleure grâce aux choses que j'ai apprises dans ce cours!
Le chapitre 5 du livre de Wright
En lisant le chapitre 5, je réalise à quel point
notre civilisation est à un point critique et qu’il faut faire des changements
rapidement. Notre société est fragile. Dans le livre, on la compare à un château
de cartes. Je trouve que cela démontre bien que si nous continuons comme on le
fait et continuons d’ignorer la situation, le temps venu, notre civilisation ne
sera pas plus forte qu’un château de cartes. Certains prédisent que cela
pourrait se passer dans les prochaines générations. Ça me fait peur de réaliser
que peut-être que mes enfants vivront l’effondrement de notre civilisation.
Wright dit : « Chaque fois que l’histoire se
répète, le prix augmente ». Je le crois puisque cette fois-ci ce n’est pas
seulement une civilisation quelconque comme les Mayas ou les Romains qui risquent
de périr, mais bien la population de la planète entière puisque nous sommes une
seule civilisation. Comme Wright le mentionne aussi le système dans lequel on
vit présentement est une vraie machine à suicide. Si nous ne changeons pas dès
maintenant pendant que nous prospérons, Wright dit que nous ne serons jamais
capables de le faire dans les temps difficiles et notre destin s’échappera de
nos mains… Je crois aussi que cela est vrai, car en temps de crise les humains
ont tendance à devenir violents. Comme
Noémie le dit souvent lorsque la civilisation s’effondrera et qu’on mourra tous
de faim, au lieu de s’aider, on risque de s’entretuer pour une carotte.
mercredi 16 mai 2012
Réflexivité
Aujourd’hui, nous
avons discuté de la GRANDE transition, c'est-à-dire que nous avons discuté de
certains changements qu’il faudrait effectuer comme société. J’ai accroché sur « Rendre
les BONNES choses à bas prix et les MAUVAISES coûteuses ». Je trouve cela tellement
vrai, combien de fois je me suis demander quand j’allais à l’épicerie pourquoi
les croustilles, les sodas, les bonbons, la nourriture en boîte de conserve, etc. coûtent
moins cher que les légumes, les fruits, que la vraie et bonne nourriture. Je
trouve que cela ferait une grande différence pour nous si les BONNES choses étaient
plus accessibles.
Question : Qu’est-ce que le progrès? – partie 2
Pour ce billet, il
nous est demandé de revisiter cette question selon quatre aspects ou échelle
·
Soi
·
Communauté
·
Société/Nation
·
Humanité
Ceci à pour
but de vérifier si notre définition du progrès à changé depuis le jour 1
du cours.
Je dirais que
ma définition du progrès a évoluer. Je crois encore que ma première définition
est correcte, mais il y a certaines choses que je peux y ajouter. Premièrement,
le progrès peut se voir de différentes manières et c’est la façon dont on le
perçoit qui dicte nos agissements face à celui-ci. Par exemple si on le voit
d’une façon linéaire et qui est un but à atteindre on va toujours vouloir plus
et plus. Moi je le vois comme un mode de vie, cela commence par soi, se
poursuit par la communauté et ce termine par l’humanité. Il est aussi important
de considérer l’éthique avec le progrès, chose que l’on ne fait pas trop de nos
jours. Je sais aussi qu’il faut penser au long terme avec tout progrès, car si
on ne le fait pas il peut y avoir des conséquences graves. Il y a du progrès à
faire sur les quatre aspects. Pour le soi : nous devons travailler sur
nous même comme individus avant d’essayer de changer la terre entière, il faut
commencer par des petits gestes à la fois, il faut arrête de penser juste à notre
petite personne. Comme communauté, il faut s’entraider et essayer de montrer un
exemple pour que d’autres villes veuillent faire comme nous. Comme société, il
faut changer notre mentalité de consommation et de production et arrêter de se
laisser piler sur les pieds par le gouvernement et les élites. Finalement comme
humanité il faut se mobiliser et mettre nos efforts ensemble pour avoir un mode
meilleur.
Réflexivité
Hier nous avons tenté de répondre à une question en classe
du genre : pourquoi est-il si difficile d’implanter des changements même s’ils
sont dans le but de sauver notre civilisation? Plusieurs réponses en sont ressorties.
Pour sauver notre civilisation, il faut faire des changements au niveau
individuel et au niveau de la société. Alors quelles sont les raisons qui nous
empêchent de changer individuellement?
« Be the change you wish to see in the world » — Gandhi
·
Dette, coût, argent
·
Découragement, sentiment d’impuissance,
incertitude
·
Jugement des autres
·
Confort, habitudes, paresse
·
Manque de temps
·
Manque d’indignation
·
Médias
Quelles sont
les raisons qui nous empêchent de changer au niveau de la société?
·
Capitalisme, économie
·
Discrimination
·
Pouvoir de l’élite
·
Manque de cohésion sociale
·
Manque de démocratie
·
Foi aveugle en la technologie
·
Priorité, temps
·
Médias
·
Système d’éducation (réforme)
Personnellement,
je trouve que nous sommes bien bons pour nous trouver des excuses et évité de
changer. On est bien dans nos petites vies, mais comme je l’ai déjà mentionné
dans un autre billet il faut accepter de vivre avec le déséquilibre et sortir
de nos bulles.
« Be the change you wish to see in the world » — Gandhi
mardi 15 mai 2012
Six conférences
Six conférenciers, six domaines
différents, carte blanche, un même message. L’effondrement de notre
civilisation.
Le message n’a pas été délivré de la même
façon pour chaque personne, mais il veut essentiellement dire que nous devons
apporter des changements à notre société, sinon il y aura des conséquences, on
ne peut pas continuer de vire comme on le fait. Évidemment, le progrès a été discuté
dans chaque présentation, mais aussi on se questionnait à savoir ce qu’est le
réel progrès. Dans chaque présentation, il a aussi été question de foi aveugle
en la science et la technologie, c’est un peu ce qui nous empêche de changer. La
croyance que la technologie nous sauvera et dans chaque présentation la réponse
est la même : non! Elle ne nous sauvera pas.
La présentation de Serge Bouchard
« Si la planète entière était
américaine, y’en aurait pas d’problème! ». J’ai bien ri quand j’ai entendu
Serge dire cela! Mais mon but n’est pas de critiquer les Américains, mais plutôt
de parler de barrières. Des barrières que l’on s’impose: linguistique, culturelle,
raciale, politique, économique, etc. il y a tant de barrières qui nous séparent
les uns des autres. Si nous abattions ces barrières peut-être serions nous
capable de nous rassemblés et de créé du changement, il y aurait peut-être mois
de discrimination, d’abus, de guerres. La solution n’est pas de tous devenir
américain (loin de là), mais d’arrêter de s’éloigner, de se créer des
différences, de bâtir des murs. Si on fait cela, le mur sur lequel nous allons nous
heurter de plein fouet va peut-être s’écouler lui aussi…
Le projet d’engagement
Honnêtement je ne sais pas trop encore de quoi il s’agira.
Ce ne serait pas quelque chose de bien compliqué. Je pense plutôt faire des
engagements personnels. J’ai déjà plein de choses que je peux changer. Depuis
le début du cours, j’apprends, et au fil des conversations je retiens des éléments
qui pourraient m’aider à changer. J’ai appris qu’il faut commencer par soi, mais
il faut aussi continuer dans le but de faire des changements comme communauté.
C’est pourquoi je veux aussi essayer de plus m’impliquer au sein de ma communauté.
Peut-être que je serais dans un petit groupe de trois, peut-être pas non plus,
il faut encore que j'en discute avec mes coéquipières.
Le chapitre 4 du livre de Wright
Je ne sais pas trop quoi dire de ce chapitre, sauf que
l’on répète toujours et encore les mêmes erreurs et que l’on ferme les yeux sur
ce qui est en train de nous arriver. Je peux facilement appliquer ce qui est
arrivé aux Romains et aux Mayas à notre situation actuelle. L’exploitation des
ressources naturelles, le grand écart entre les riches et les pauvres, la surpopulation…
sont tous des choses que l’on reproduit comme dans le temps des Romains et des Mayas.
Puisque l’histoire est en train de se répéter, notre civilisation est vouée à l’effondrement.
La dernière phrase du chapitre m’a énormément fait réfléchir « Il y a de l’espoir,
mais pas pour nous. » Il y a toujours de l’espoir pour la terre puisqu’une
fois débarrasser de nous elle pourra se régénérer. Alors, si nous ne faisons
rien, la fin de notre civilisation sera inévitable, il reste maintenant à savoir
si les survivants (s’il y en a) prendront le bon chemin...
samedi 12 mai 2012
Le chapitre 3 du livre de Wright
Est-ce que notre personnalité comme humain ressemble à
celle des habitants de l’île de Pâques ou aux gens qui occupaient la région de
Sumer? Si oui cela fait peur. Ça fait peur de réaliser que l’on n’apprend
vraiment rien du passé. Deux civilisations qui ont toutes les deux tout détruit.
Ce qui me frustre le plus c’est comme Wright le dit dans son livre. « Les Pascuans
qui ont abattu le dernier arbre étaient à même de constater que c’était bel et
bien le dernier; il avait l’entière certitude qu’il n’y en aurait jamais d’autres,
mais ils l’ont néanmoins abattu. » On sait que nous sommes en train de
détruire notre planète et on continue quand même de le faire. Nous savons que
bientôt nous allons manquer de pétrole, mais nous allons quand même l’extraire jusqu'à
la dernière goûte au lieu de trouver autre chose pour survivre.
Le chapitre 2 du livre de Wright
Franchement, je ne sais pas quoi dire d’autre que nous
tombons toujours dans nos propres pièges. Cela commence par le perfectionnement
de la chasse et ça se poursuit avec l’agriculture. Pour moi c’est cela un piège
du progrès, bien sûr au début on ne le sait pas que nous sommes en train de créer
un piège, jusqu'à ce que l’on tombe dedans. On pense constamment à la
gratification immédiate sans penser aux conséquences. On perfectionne nos armes,
youpi!, on chasse mieux, on chasse plus, jusqu’à ce qu’il n’y a plus rien -__-,
beau progrès… On épuise nos ressources jusqu'à ce que l’on ne puisse plus rien
faire avec. Nous avons été chanceux de tomber sur l’agriculture, mais encore
une fois on en profite trop. Ce qui m'a frappé aussi dans le chapitre deux est
à quel point on se croit civiliser et meilleur que nos ancêtres, mais finalement
la civilisation n’est en effet qu’une belle promesse. Bien sûr, la civilisation
est une bonne chose puisque c’est la seule façon de faire vivre l’humanité,
mais nous ne savons pas comment nous conduire de façon « civilisée » entre
nous, puisqu’il faut toujours avoir plus que les autres, être plus important que
les autres, etc.
vendredi 11 mai 2012
Réflexion à propos de la présentation de Rémi Lessard
Question : Qui sommes-nous?
Nous sommes des humains, nous sommes des résidents de
la terre, nous sommes des êtres capables d’amour, nous sommes des êtres capables
de bonté, de partage, d’amitié. Mais, nous sommes aussi capables de destruction,
de haine, de jalousie, de violence. Nous sommes des êtres capables d’une grande
intelligence. Nous sommes des parents, des enfants, des amies, des employés, des
voisins, etc. Nous sommes des êtres
complexes et je crois que nous avons tout ce qu’il nous faut en nous pour
changer et sauver notre monde. Nous sommes tous capables de volonté, de persévérance,
de se rassembler pour faire en sorte que nous aurons un avenir. Il faudrait
juste que les gens prennent conscience qu’ils ont de telles capacités en eux.
Depuis que je suis le cours sur le progrès, j’ai découvert que je suis capable
de faire des changements dans ma vie pour faire une différence.
Ce qu'il faut faire...
L’éducation permet de former des citoyens avertis, capables
d’avoir un jugement critique et de se gouverner. (réforme du système d’éducation);
Le gouvernement doit nous représenter, il doit avoir du
leadership et travailler pour le bien de l’humanité et non remplir ses
poches;
Le progrès n’est pas une destination, mais un mode de
vie. Ça commence par soi, par notre communauté, et se termine par l’humanité.
Personnellement, j’ai trouvé tous les énoncés que nous
avons ressortis en classe très pertinent et importants. Ce sont tous des choses
qu’il faut suivre pour survivre au progrès. J’en ai quand même choisit quelque un
qui selon moi, si on fait ces choses, on risque de voir de plus grand
changement plus rapidement. Ce sont cependant des choses assez difficiles à
accomplir. Je crois comme plusieurs dans le cours que le système d’éducation
doit changer. Si on avait comme but de former des citoyens avertis, capables d’avoir
un jugement critique et de se gouverner, on ne se laisserait pas piler sur les
pieds par un gouvernement qui ne nous satisfait pas. De plus si justement nous
avions des gouvernements qui avaient à cœur le bien de l’humanité, on pourrait progresser
vers une vraie démocratie et vers plus d’égalité. Finalement, ce serait bien beau
d’avoir un nouveau système d’éducation et un meilleur gouvernement, mais il
faut aussi qu’individuellement on effectue des changements. Si on fait cela, on
peut finir par influencer de plus en plus de gens et finir par faire le tour de
la terre. Il faut arrêter de voir le progrès comme étant une destination à
atteindre, on ne l’atteindra jamais, il faut plutôt adopter le progrès comme un
mode vie (sain).
jeudi 10 mai 2012
Mes réflexions sur le cours d’hier
J’ai bien aimé le cours d’hier puisque c’était quand
même assez détendu. En groupe, nous avons écrit quelques énoncés se rattachant
au progrès qui sont ressortis depuis le début du cours. Je trouve que c’était
une bonne idée de nous faire faire cela, car j’ai tellement appris de nouvelles
choses durant le cours que j’ai parfois de la difficulté à faire de l’ordre dans
mes idées et cet exercice m'a permis de catégorisé les notions importantes
apprises. Aussi, nous avons eu la visite d’élèves du secondaire qui était venu
pour discuter avec nous de leurs impressions sur le documentaire Surviving Progress j’ai été impressionnée
des commentaires des élèves et à quel point ils comprennent la problématique, ils
posaient des questions vraiment intéressantes. J’ai été un peu surprise que la
plus part des élèves penchait plus vers le désespoir par rapport à notre
avenir. Quant à moi je suis une personne assez pessimiste de nature, mais j’ai quand
même toujours espoir.
mercredi 9 mai 2012
Réflexion à la suite de la présentation de l’astrophysicien David Helfand
Comme bien d’autres, je suis resté
accroché au fait que nous ne sommes que poussière d’étoiles. C’est incroyable à
quel point nous croyions être le centre de l’univers et que finalement nous
somme qu’une infime partie de cet univers. J’ai trouvé intéressant quand David
mentionne que ce n’est pas la terre qu’il faut sauver, mais nous-mêmes, puisque
si nous disparaissons la terre continuera d’évoluer dans son cycle normal. Ce
n’est pas la terre qui à besoin nous, avons besoin de la terre. Finalement, je
veux parler de l’éducation « Tell me and I’ll forget, show me and I may
remember, involve me and I’ll understand ».Je trouve ces propos tellement
vrais. Combien de fois j’ai étudié la matière pour un examen pour réaliser à la
suite que je ne me souvenais de presque rien après avoir fait l’examen? Trop
souvent…
mardi 8 mai 2012
Ma réflexion d’aujourd’hui
Je suis « brain dead » hehe et je
suis certaine que cela parait dans mes billets d’aujourd’hui, je manque d’idées
et d’inspiration, j’en ai encore trop dans la tête, ça me prend tout mon petit
change pour écrire quelque chose sur mes blogues. La présentation de David
Helfand était intéressante, mais
malheureusement je décrochais souvent pour aller rejoindre la lune et les
étoiles… J’ai hâte à demain pour enfin avoir une journée plus détendue où nous
allons pouvoir faire un retour sur ce que nous avons appris jusqu’à maintenant.
Réflexion sur le chapitre 1 du livre de Wright « Brève histoire du progrès »
Les questions de Gauguin
Ah! Ces fameuses questions : D’où venons-nous?
Que sommes-nous? et Où allons-nous? J’évite souvent de me poser des questions
de ce genre, car elles finissent souvent par trop me tracasser, mais comme le
dit Wright il est important de ce les posés. Selon lui, si on répond aux deux
premières questions nous serons en mesure de répondre à la troisième : Où
allons-nous. Pas fou comme idée… Comme
je l’ai déjà mentionné l’histoire à propos des chasseurs-cueilleurs et des mammouths
m'a beaucoup plus, car, quand je pense aux pièges du progrès cette histoire me vient
clairement en tête. Aussi, Wright nous fait aussi réaliser à quel point le
progrès avance rapidement. De plus, dans ce chapitre il parle aussi des
différentes sortes de progrès, technologique, matériel et moral. De nos jours
on fait beaucoup de progrès technologique et matériel, mais on délaisse trop
le progrès moral il me semble que de ce coté on régresse…
Collapse
Après avoir visionné le documentaire Collapse hier je ne peux pas m’empêcher
de faire une petite réflexion sur ce que j’ai vu et entendu. Le documentaire ne
m'a pas choqué du tout. Il a simplement aidé à ajouter sur ce que j’ai appris
dans le cours sur le progrès. Par contre, j’étais loin de me douter à quel point
tout tourne autour du pétrole et je réalise de plus en plus que lorsque nous
allons en manquer, ce sera radical, car je doute que nous puissions trouver un
équivalent au pétrole et si oui, nous allons probablement répéter les mêmes erreurs
qu’avec le pétrole. Je crois que nous allons devoir changer radicalement nos modes
de vie et apprendre à vivre avec ce que la nature nous « donne » sans
en abuser.
lundi 7 mai 2012
La théorie (simplifiée) de l’éducation selon Stephen Downes
a) To educate is to model and to demonstrate
b) Learning is to practice and to reflect
Je crois que cette théorie à bien du bon sens,
combien de fois on m’a dit ce que je devrais et ne devrait pas faire par une
personne qui ne mettait même pas en pratique ce quelle essayais de m’inculqué.
C’est comme dire à un enfant qu’il doit faire sa chambre et que c’est important
qu’elle reste propre quand la chambre du parent lui-même est un vrai désordre. Voilà ce que veut dire pour moi « to
educate is to model and to demonstrate ». Comme il est intéressant d’apprendre
de quelqu'un qui connaît son domaine et qui est passionné parce qu’il fait. Il
est aussi bien plus intéressant d’interagir avec la personne, avoir des
discussions entre groupes et de considérer le prof comme faisant partit du
groupe. Cela ressemble beaucoup à ce que nous tentons d’accomplir avec le cours
sur le progrès à l’université de Hearst. Essayer d’apprendre dans un nouveau
contexte que celui habituel où il y a un prof qui enseigne aux élèves et les
élèves ne font qu’écouter.
Pour par la suite apprendre, il est important
de mettre en pratique ou d’élaborer sur ce qui nous est présenté, comme le
dicton le dit « practice makes perfect ». C’est en pratiquant, en
élaborant, en ajoutant ces informations à ce que l’on connaît déjà que l’on finit
par avoir des connaissances qui nous restent. Il est aussi important de se
questionner sur ce que l'on apprend. Il ne faut pas toujours prendre pour
acquis que ce que l’on apprend soit la meilleure chose. On n’apprend pas tous
de la même manière et il faut se battre pour ce que l’on croit être la
meilleure chose pour nous. Comme Stephen le disait, lire du Charles Dickens n’était
pas pour lui une manière pertinente d’apprendre et, à sa façon, il le
démontrait en boycottant ses quiz sur le sujet.
Petite réflexion sur ma journée
J’ai bien aimé la présentation de Stephen
Downes, malgré une barrière linguistique. J’ai tout de même réussi à retenir
quelques petites choses… Premièrement, j’ai trouvé très intéressants les
différents diagrammes qu’il nous présentait sur le progrès. Cela m’a fait pensé
à celui qu’avait crée Elsa la semaine d’avant. On peut voir comment évolue le
progrès sous différente manière et c’est la façon dont on choisit de le voir qui
dicte nos actes. Aussi j’ai appris que pour que les personnes changent il faut
que ça vienne d’eux même, si on leur dit quoi faire ou qu’on les oblige cela ne
donnera rien. On peut les aider à avoir une prise de conscience, mais on ne
peut pas leur dicter leurs actions. Dernièrement, j’ai aussi retenu qu’il faut
croire en ce que l’on fait et essayer de monter l’exemple afin que d'autres
puissent apprendre de nous.
Voici mes réflexions sur la présentation d’Hélène Tremblay
Après le cours de jeudi, je suis encore une fois
sortie la tête pleine d’idées, toutes aussi intéressantes les unes que les
autres. Le problème c’est que je ne savais pas comment consolider ces idées et
chaque fois que j’ai voulu écrire sur mon blogue, plein de petits bouts d’informations
se bousculaient dans ma tête et je ne savais pas quoi en faire. Voici ce qui
explique un peu pourquoi je n’ai pas écrit depuis jeudi passé. Mais finalement
après une bonne fin de semaine je suis un peu plus en mesure de faire de l’ordre
dans mes idées…
Premièrement, wow!! J’ai vraiment adoré la
présentation d’Hélène. Je réalise de plus en plus comment nous sommes chanceux la
gang du cours sur le progrès de pouvoir rencontrer des gens qui ont beaucoup à
partager avec nous. Hélène est une femme extraordinaire! J’aime le fait qu’elle
a pu voyager partout dans le monde et qu’en plus, elle a pu vivre avec ces gens
et elle a pu apprendre d’eux. Je trouve que c’est cela la beauté de voyager. C’est
non seulement de voir autre chose, mais aussi de vivre autre chose et de
découvrir les gens, les cultures, les coutumes, etc.
Hélène Tremblay a abordé plusieurs sujets en salle
de classe. Voici ceux qui m’ont le plus frappé… Qui sommes-nous pour dire aux
autres qu’ils sont pauvres? Si ces personnes ont de l’amour dans leur vie et
qu’ils sourirent à la vie malgré les difficultés? Ils sont déjà bien plus
riches que bien des gens sur la terre. Pourquoi s’obstine-t-on à définir la
richesse selon son compte en banque ou des biens matériels?
Je trouve qu’Hélène voit juste quand elle nous
parle du premier privilège qui est de venir au monde avec des parents positifs,
aimants, souriant. Ce sont des besoins primaires. Nos valeurs, nos habitudes, viennent
souvent de nos parents. Si tout le monde avait des enfants pour les bonnes raisons,
le monde serait sûrement meilleur. Encore une fois, on mentionne qu’il faut
apprendre du passé et du présent pour pouvoir avoir un futur. Il faut que les
gens comprennent qu’il ne faut pas répéter les erreurs du passé et agir vite
pour changer le cours de l’histoire… Pas une tâche facile! Et finalement, il faut
briser les murs!! Plusieurs barrières nous empêchent de nous réunir pour
changer les choses, il est important qu’on les détruise.
mercredi 2 mai 2012
Mes réflexions sur le cours d’aujourd’hui suite à notre rencontre avec Mathieu Roy
Aujourd’hui ce fût un cours extrêmement intéressant,
nous avons eu la visite de Mathieu Roy auteur du documentaire Surviving Progress que je vais visionner
ce soir à l’Université de Hearst. Ce documentaire parle surtout les pièges du
progrès. J’aime beaucoup l’histoire des mammouths de Wright que l’on a aussi discutée
avec Mathieu. C’est essentiellement que les chasseurs-cueilleurs qui ont appris
à tuer deux mammouths à la fois au lieu d’un seul ont fait un réel progrès,
mais ceux qui ont apprit à en tuer un troupeau en les faisant culbuter au bas d’un
escarpement en ont bien trop fait. Voila un piège du progrès, les bienfaits immédiats
que procurait toute cette nourriture ont aussi emmené des conséquences bien
plus graves pouvant avoir causé une famine puisque des troupeaux entiers étai
détruit donc il n’y avait pas de reproduction. Alors, plus de mammouths à
chasser. Je trouve vraiment tout comme Mathieu Roy que cette histoire représente
bien notre situation. On recherche la gratification immédiate sans penser aux
conséquences.
La visite de Mathieu m’en a appris beaucoup,
comme la notion de pathologie idéolique, qui est une fois aveugle en une
croyance. La pathologie idéologique pourrait aussi expliquer notre situation,
on croit dur comme fer que la technologie nous sauvera malgré les preuves du
contraire. Tout ce que j’ai appris aujourd'hui me fait vraiment réfléchir à ce
que je pourrais faire pour faire et devenir une meilleure personne. Le moyen
que nous disposons vraiment en tant qu’individus est de procéder à des petits
changements un jour à la fois et essayer de changer nos habitudes même si cela
peut nous paraitre difficile. Espérons que l’histoire ne ce répétera pas et que
plus de gens prendrons des résolutions pour changer pour le mieux.
mardi 1 mai 2012
Mes réflexions sur le cours d’aujourd’hui
Franchement je commence à être de plus en plus
inquiète au sujet de notre avenir. Si avant je menais une vie d’ignorance face
au problème majeur que peut engendrer le progrès, me voilà informer! On peut
dire que jusqu’à présent les bienfaits du progrès se font attendre! Mais j’aime
bien ce cours, car on parle d’absolument tout ce qui peut concerner le progrès
et à la fin nous allons essayer de proposer des solutions aux différents
problèmes lier à ce phénomène. Le petit vidéo qui nous a été présenté de David
Suzuki « Test Tube » est très choquant, il nous fait réaliser à quel
point la situation est alarmante et qu’il faut vite agir.
Question : Qu’est-ce que la notion d’anthropocène vous dit sur votre avenir?
Anthropo quoi? Pour moi ce mot était
comme du chinois, je n’en avais jamais entendu parler avant le cours d’aujourd’hui.
Grâce au blogue d’autres étudiantes du cours et aux vidéos postés sur le blogue
des profs, j’ai réussi (je crois) à comprendre l’essentiel de ce que représente
ce mot. Je crois que j’en ai encore beaucoup à apprendre au sujet de la notion
d’anthropocène et sur toutes les problématiques qui entourent cette notion. Alors,
si j’ai bien compris l’anthropocène serait une nouvelle ère où les humains
auraient un certain contrôle sur la nature. Ce n’est plus la nature qui domine,
nous exerçons maintenant un pouvoir sur elle. Mais est-ce vraiment un réel
contrôle que nous avons sur la nature?
Je ne crois pas que l’on puisse totalement
contrôler la nature. Il pourrait sembler comme si nous la contrôlons, mais à la
fin, si nous ne changeons pas nos habitudes, la nature va fini par nous montrer qui est le «boss»! Donc, qu’est-ce que la
notion d’anthropocène me dit sur notre avenir? C’est qu’en ce moment il n’est
pas bien rose, puisque nous croyons avoir un contrôle sur la nature, on y fait
moins attention, pensant que l’on peut tout réparer ou nous sortir du pétrin avec
la technologie. Nos ressources s’épuisent par notre faute et très peu est fait
pour remédier à la situation et nous assurer un avenir meilleur s’il n’est pas
trop tard, car plus le temps avance et on ne fait rien plus on s’approche du
point de non-retour. Comme il a été mentionné dans le cours il faut se secouer
et sortir de notre confort et démonter que notre planète nous tien à cœur.
lundi 30 avril 2012
Bonjour à tous!
Voici mon blogue créé dans
le cadre du cours Comment survire au progrès?.
Quelles raisons m’ont poussée
à m'inscrire dans ce cours? C'est très simple, j'aime apprendre et enrichir mes
connaissances. Le progrès est un sujet dont je parle souvent sans m'en rendre
compte, comme quand je me plains à propos des ordinateurs, ou quand je me dis
que la technologie avance trop vite, je parle du progrès. Par contre, je n'avais
jamais vraiment discuté du progrès en profondeur ou essayer de comprendre ce
que c'est et jusqu’où cela va nous mener. Donc, j'ai décidé de m'inscrire au
cours parce que le sujet m'intéressait grandement. J'ai aussi décidé de m'inscrire
parce que le nouveau format de cours en bloc a piqué ma curiosité. Je voulais
essayer du nouveau, qui me permettrait de découvrir autre chose (comme le blogue)
et qui me ferait sortir de ma zone de confort. Le fait d'avoir quatre
professeurs m’a aussi incité à m'inscrire, car trois des profs ne m’ont jamais
enseigné et puisque j'ai entendu de très bons commentaires à leur sujet je me
suis dit qu’il serait intéressant de les avoir comme professeurs et ainsi d’aborder
le sujet du progrès sous différentes perspectives.
Qu'est-ce que le progrès
pour moi? Grâce aux discussions que l’on a eu lieu dans le cours de ce matin,
je suis en mesure de mieux définir ce que représente le progrès pour moi.
Premièrement, le progrès est une notion qui touche toutes les sphères de notre
vie. On pourrait en parler et essayer de le définir pendant de longues périodes
de temps et il y aurait toujours quelque chose à y ajouter. Le progrès est tout
d’abord un avancement, qu’il soit positif ou négatif on progresse dans le but
de s’améliorer, d’améliorer quelque chose ou améliorer une situation. De nos jours,
il me semble que le progrès ne connaît pas de limites. Pour moi, il est
impossible de ne pas progresser même si c’est un très petit progrès. Ce qui est
peu être parfois inquiétant c’est la vitesse à laquelle le progrès avance.
Voici ma
tentative de définition pour le progrès J
À la
prochaine,
Lisa
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