vendredi 18 mai 2012

Un petit mot de la fin…

Toutes bonnes choses à une fin comme qui disent. Je souhaite mentionner que j’ai vécu une expérience très enrichissante dans le cours : Comment survivre au progrès. Je me sens même privilégiée d’avoir pu faire partie de cette expérience que je n’oublierais jamais. Je vais m’ennuyer de la petite famille qu’on s’est créée, j’ai rencontré plein de gens intéressants! Finalement, je souhaite remercier les professeurs qui ont travaillé fort pour rendre ce cours le plus intéressant et enrichissant possible et c’est mission réussie! Je me considère maintenant une personne meilleure grâce aux choses que j'ai apprises dans ce cours!

Le chapitre 5 du livre de Wright

En lisant le chapitre 5, je réalise à quel point notre civilisation est à un point critique et qu’il faut faire des changements rapidement. Notre société est fragile. Dans le livre, on la compare à un château de cartes. Je trouve que cela démontre bien que si nous continuons comme on le fait et continuons d’ignorer la situation, le temps venu, notre civilisation ne sera pas plus forte qu’un château de cartes. Certains prédisent que cela pourrait se passer dans les prochaines générations. Ça me fait peur de réaliser que peut-être que mes enfants vivront l’effondrement de notre civilisation.

Wright dit : « Chaque fois que l’histoire se répète, le prix augmente ». Je le crois puisque cette fois-ci ce n’est pas seulement une civilisation quelconque comme les Mayas ou les Romains qui risquent de périr, mais bien la population de la planète entière puisque nous sommes une seule civilisation. Comme Wright le mentionne aussi le système dans lequel on vit présentement est une vraie machine à suicide. Si nous ne changeons pas dès maintenant pendant que nous prospérons, Wright dit que nous ne serons jamais capables de le faire dans les temps difficiles et notre destin s’échappera de nos mains… Je crois aussi que cela est vrai, car en temps de crise les humains ont tendance à devenir violents.  Comme Noémie le dit souvent lorsque la civilisation s’effondrera et qu’on mourra tous de faim, au lieu de s’aider, on risque de s’entretuer pour une carotte.

mercredi 16 mai 2012

Réflexivité

Aujourd’hui, nous avons discuté de la GRANDE transition, c'est-à-dire que nous avons discuté de certains changements qu’il faudrait effectuer comme société. J’ai accroché sur « Rendre les BONNES choses à bas prix et les MAUVAISES coûteuses ». Je trouve cela tellement vrai, combien de fois je me suis demander quand j’allais à l’épicerie pourquoi les croustilles, les sodas, les bonbons,  la nourriture en boîte de conserve, etc. coûtent moins cher que les légumes, les fruits, que la vraie et bonne nourriture. Je trouve que cela ferait une grande différence pour nous si les BONNES choses étaient plus accessibles.



Question : Qu’est-ce que le progrès? – partie 2

Pour ce billet, il nous est demandé de revisiter cette question selon quatre aspects ou échelle

·         Soi

·         Communauté

·         Société/Nation

·         Humanité

Ceci à pour but de vérifier si notre définition du progrès à changé depuis le jour 1 du cours.

Je dirais que ma définition du progrès a évoluer. Je crois encore que ma première définition est correcte, mais il y a certaines choses que je peux y ajouter. Premièrement, le progrès peut se voir de différentes manières et c’est la façon dont on le perçoit qui dicte nos agissements face à celui-ci. Par exemple si on le voit d’une façon linéaire et qui est un but à atteindre on va toujours vouloir plus et plus. Moi je le vois comme un mode de vie, cela commence par soi, se poursuit par la communauté et ce termine par l’humanité. Il est aussi important de considérer l’éthique avec le progrès, chose que l’on ne fait pas trop de nos jours. Je sais aussi qu’il faut penser au long terme avec tout progrès, car si on ne le fait pas il peut y avoir des conséquences graves. Il y a du progrès à faire sur les quatre aspects. Pour le soi : nous devons travailler sur nous même comme individus avant d’essayer de changer la terre entière, il faut commencer par des petits gestes à la fois, il faut arrête de penser juste à notre petite personne. Comme communauté, il faut s’entraider et essayer de montrer un exemple pour que d’autres villes veuillent faire comme nous. Comme société, il faut changer notre mentalité de consommation et de production et arrêter de se laisser piler sur les pieds par le gouvernement et les élites. Finalement comme humanité il faut se mobiliser et mettre nos efforts ensemble pour avoir un mode meilleur.

Réflexivité

Hier nous avons tenté de répondre à une question en classe du genre : pourquoi est-il si difficile d’implanter des changements même s’ils sont dans le but de sauver notre civilisation? Plusieurs réponses en sont ressorties. Pour sauver notre civilisation, il faut faire des changements au niveau individuel et au niveau de la société. Alors quelles sont les raisons qui nous empêchent de changer individuellement?

·         Dette, coût, argent

·         Découragement, sentiment d’impuissance, incertitude

·         Jugement des autres

·         Confort, habitudes, paresse

·         Manque de temps

·         Manque d’indignation

·         Médias

Quelles sont les raisons qui nous empêchent de changer au niveau de la société?

·         Capitalisme, économie

·         Discrimination

·         Pouvoir de l’élite

·         Manque de cohésion sociale

·         Manque de démocratie

·         Foi aveugle en la technologie

·         Priorité, temps

·         Médias

·         Système d’éducation (réforme)

Personnellement, je trouve que nous sommes bien bons pour nous trouver des excuses et évité de changer. On est bien dans nos petites vies, mais comme je l’ai déjà mentionné dans un autre billet il faut accepter de vivre avec le déséquilibre et sortir de nos bulles.

           « Be the change you wish to see in the world » — Gandhi





mardi 15 mai 2012

Six conférences

Six conférenciers, six domaines différents, carte blanche, un même message. L’effondrement de notre civilisation.

Le message n’a pas été délivré de la même façon pour chaque personne, mais il veut essentiellement dire que nous devons apporter des changements à notre société, sinon il y aura des conséquences, on ne peut pas continuer de vire comme on le fait. Évidemment, le progrès a été discuté dans chaque présentation, mais aussi on se questionnait à savoir ce qu’est le réel progrès. Dans chaque présentation, il a aussi été question de foi aveugle en la science et la technologie, c’est un peu ce qui nous empêche de changer. La croyance que la technologie nous sauvera et dans chaque présentation la réponse est la même : non! Elle ne nous sauvera pas.

La présentation de Serge Bouchard

« Si la planète entière était américaine, y’en aurait pas d’problème! ». J’ai bien ri quand j’ai entendu Serge dire cela! Mais mon but n’est pas de critiquer les Américains, mais plutôt de parler de barrières. Des barrières que l’on s’impose: linguistique, culturelle, raciale, politique, économique, etc. il y a tant de barrières qui nous séparent les uns des autres. Si nous abattions ces barrières peut-être serions nous capable de nous rassemblés et de créé du changement, il y aurait peut-être mois de discrimination, d’abus, de guerres. La solution n’est pas de tous devenir américain (loin de là), mais d’arrêter de s’éloigner, de se créer des différences, de bâtir des murs. Si on fait cela, le mur sur lequel nous allons nous heurter de plein fouet va peut-être s’écouler lui aussi…

Le projet d’engagement

Honnêtement je ne sais pas trop encore de quoi il s’agira. Ce ne serait pas quelque chose de bien compliqué. Je pense plutôt faire des engagements personnels. J’ai déjà plein de choses que je peux changer. Depuis le début du cours, j’apprends, et au fil des conversations je retiens des éléments qui pourraient m’aider à changer. J’ai appris qu’il faut commencer par soi, mais il faut aussi continuer dans le but de faire des changements comme communauté. C’est pourquoi je veux aussi essayer de plus m’impliquer au sein de ma communauté. Peut-être que je serais dans un petit groupe de trois, peut-être pas non plus, il faut encore que j'en discute avec mes coéquipières.

Le chapitre 4 du livre de Wright

Je ne sais pas trop quoi dire de ce chapitre, sauf que l’on répète toujours et encore les mêmes erreurs et que l’on ferme les yeux sur ce qui est en train de nous arriver. Je peux facilement appliquer ce qui est arrivé aux Romains et aux Mayas à notre situation actuelle. L’exploitation des ressources naturelles, le grand écart entre les riches et les pauvres, la surpopulation… sont tous des choses que l’on reproduit comme dans le temps des Romains et des Mayas. Puisque l’histoire est en train de se répéter, notre civilisation est vouée à l’effondrement. La dernière phrase du chapitre m’a énormément fait réfléchir « Il y a de l’espoir, mais pas pour nous. » Il y a toujours de l’espoir pour la terre puisqu’une fois débarrasser de nous elle pourra se régénérer. Alors, si nous ne faisons rien, la fin de notre civilisation sera inévitable, il reste maintenant à savoir si les survivants (s’il y en a) prendront le bon chemin...

samedi 12 mai 2012

Le chapitre 3 du livre de Wright

Est-ce que notre personnalité comme humain ressemble à celle des habitants de l’île de Pâques ou aux gens qui occupaient la région de Sumer? Si oui cela fait peur. Ça fait peur de réaliser que l’on n’apprend vraiment rien du passé. Deux civilisations qui ont toutes les deux tout détruit. Ce qui me frustre le plus c’est comme Wright le dit dans son livre. « Les Pascuans qui ont abattu le dernier arbre étaient à même de constater que c’était bel et bien le dernier; il avait l’entière certitude qu’il n’y en aurait jamais d’autres, mais ils l’ont néanmoins abattu. » On sait que nous sommes en train de détruire notre planète et on continue quand même de le faire. Nous savons que bientôt nous allons manquer de pétrole, mais nous allons quand même l’extraire jusqu'à la dernière goûte au lieu de trouver autre chose pour survivre.

Le chapitre 2 du livre de Wright

Franchement, je ne sais pas quoi dire d’autre que nous tombons toujours dans nos propres pièges. Cela commence par le perfectionnement de la chasse et ça se poursuit avec l’agriculture. Pour moi c’est cela un piège du progrès, bien sûr au début on ne le sait pas que nous sommes en train de créer un piège, jusqu'à ce que l’on tombe dedans. On pense constamment à la gratification immédiate sans penser aux conséquences. On perfectionne nos armes, youpi!, on chasse mieux, on chasse plus, jusqu’à ce qu’il n’y a plus rien -__-, beau progrès… On épuise nos ressources jusqu'à ce que l’on ne puisse plus rien faire avec. Nous avons été chanceux de tomber sur l’agriculture, mais encore une fois on en profite trop. Ce qui m'a frappé aussi dans le chapitre deux est à quel point on se croit civiliser et meilleur que nos ancêtres, mais finalement la civilisation n’est en effet qu’une belle promesse. Bien sûr, la civilisation est une bonne chose puisque c’est la seule façon de faire vivre l’humanité, mais nous ne savons pas comment nous conduire de façon « civilisée » entre nous, puisqu’il faut toujours avoir plus que les autres, être plus important que les autres, etc.

vendredi 11 mai 2012

Réflexion à propos de la présentation de Rémi Lessard

Premièrement, Rémi nous a amenés à nous questionner sur qui nous sommes. Ensuite, il nous a dit qui il était : un gars du nord, travailleur social de formation, prêtre, curé de paroisse et théologien. Je suis restée étonnée de moi-même parce que j’avais toujours perçu Rémi comme étant seulement un prêtre. Si quelqu’un me disait « Rémi » immédiatement le mot « prêtre » venait dans ma tête, mais, comme nous tous il est bien plus que sa fonction. C’est curieux comment on voit vraiment les gens selon leur statut, c’est tellement automatique. Nous ne sommes pas seulement notre fonction. Pourquoi cherche-t-on toujours à catégoriser les gens? Si on ne le faisait pas, il y aurait peut-être moins de conflits dans le monde. J’ai bien aimé aussi quand il nous a parlé du déséquilibre, il nous mentionnait que le déséquilibre est essentiel et je trouve que c’est vrai. Le déséquilibre amène les gens à sortir de leur confort et essayer autre chose dans la vie. Ce n’est pas toujours sa façon de faire qui est la meilleure. Il a aussi parlé d’éthique « ce n’est pas parce qu’on peut le faire qu’il faut le faire ». Je trouve cela intéressant puisqu’il me semble que nous faisons le contraire avec la technologie. J’ai bien aimé la présentation de Rémi simplement parce qu’il est une personne ouverte d’esprit et ouvert sur le monde.

Question : Qui sommes-nous?

Nous sommes des humains, nous sommes des résidents de la terre, nous sommes des êtres capables d’amour, nous sommes des êtres capables de bonté, de partage, d’amitié. Mais, nous sommes aussi capables de destruction, de haine, de jalousie, de violence. Nous sommes des êtres capables d’une grande intelligence. Nous sommes des parents, des enfants, des amies, des employés, des voisins, etc. Nous sommes des êtres complexes et je crois que nous avons tout ce qu’il nous faut en nous pour changer et sauver notre monde. Nous sommes tous capables de volonté, de persévérance, de se rassembler pour faire en sorte que nous aurons un avenir. Il faudrait juste que les gens prennent conscience qu’ils ont de telles capacités en eux. Depuis que je suis le cours sur le progrès, j’ai découvert que je suis capable de faire des changements dans ma vie pour faire une différence.

Ce qu'il faut faire...

L’éducation permet de former des citoyens avertis, capables d’avoir un jugement critique et de se gouverner. (réforme du système d’éducation);

Le gouvernement doit nous représenter, il doit avoir du leadership et travailler pour le bien de l’humanité et non  remplir ses poches;

Le progrès n’est pas une destination, mais un mode de vie. Ça commence par soi, par notre communauté, et se termine par l’humanité.
Personnellement, j’ai trouvé tous les énoncés que nous avons ressortis en classe très pertinent et importants. Ce sont tous des choses qu’il faut suivre pour survivre au progrès. J’en ai quand même choisit quelque un qui selon moi, si on fait ces choses, on risque de voir de plus grand changement plus rapidement. Ce sont cependant des choses assez difficiles à accomplir. Je crois comme plusieurs dans le cours que le système d’éducation doit changer. Si on avait comme but de former des citoyens avertis, capables d’avoir un jugement critique et de se gouverner, on ne se laisserait pas piler sur les pieds par un gouvernement qui ne nous satisfait pas. De plus si justement nous avions des gouvernements qui avaient à cœur le bien de l’humanité, on pourrait progresser vers une vraie démocratie et vers plus d’égalité. Finalement, ce serait bien beau d’avoir un nouveau système d’éducation et un meilleur gouvernement, mais il faut aussi qu’individuellement on effectue des changements. Si on fait cela, on peut finir par influencer de plus en plus de gens et finir par faire le tour de la terre. Il faut arrêter de voir le progrès comme étant une destination à atteindre, on ne l’atteindra jamais, il faut plutôt adopter le progrès comme un mode vie (sain).


jeudi 10 mai 2012

Mes réflexions sur le cours d’hier


J’ai bien aimé le cours d’hier puisque c’était quand même assez détendu. En groupe, nous avons écrit quelques énoncés se rattachant au progrès qui sont ressortis depuis le début du cours. Je trouve que c’était une bonne idée de nous faire faire cela, car j’ai tellement appris de nouvelles choses durant le cours que j’ai parfois de la difficulté à faire de l’ordre dans mes idées et cet exercice m'a permis de catégorisé les notions importantes apprises. Aussi, nous avons eu la visite d’élèves du secondaire qui était venu pour discuter avec nous de leurs impressions sur le documentaire Surviving Progress j’ai été impressionnée des commentaires des élèves et à quel point ils comprennent la problématique, ils posaient des questions vraiment intéressantes. J’ai été un peu surprise que la plus part des élèves penchait plus vers le désespoir par rapport à notre avenir. Quant à moi je suis une personne assez pessimiste de nature, mais j’ai quand même toujours espoir.

mercredi 9 mai 2012

Réflexion à la suite de la présentation de l’astrophysicien David Helfand

Premièrement, je trouve dommage que je n’aie pas tout compris de sa présentation. Moi qui croyais être à l’aise en anglais cela me fais réaliser que je devrais peut-être reprendre des cours d’anglais, mais bon. Le sujet de la présentation m’intéressait vraiment et j’aurai voulu tout saisir. Donc, ce que je comprends de cette présentation me vient surtout des discussions et des blogues des autres. Comme plusieurs le mentionnent dans leurs blogues, pourquoi se casser la tête à trouver des solutions pour survivre au progrès si à la fin nous allons tous mourir quand même? Puisque l’évolution normale de la terre et du soleil est hors de notre contrôle. Moi je vais vous dire pourquoi. Parce que trouver des solutions pour survivre au progrès ne sert pas seulement à assurer notre survie, mais c’est aussi pour rendre la vie meilleure. On doit faire de notre possible pour que la vie sur terre soit la meilleure possible et que pour le temps qu’il nous reste à vivre, les humains sur la terre pourront tous vivre heureux.
Comme bien d’autres, je suis resté accroché au fait que nous ne sommes que poussière d’étoiles. C’est incroyable à quel point nous croyions être le centre de l’univers et que finalement nous somme qu’une infime partie de cet univers. J’ai trouvé intéressant quand David mentionne que ce n’est pas la terre qu’il faut sauver, mais nous-mêmes, puisque si nous disparaissons la terre continuera d’évoluer dans son cycle normal. Ce n’est pas la terre qui à besoin nous, avons besoin de la terre. Finalement, je veux parler de l’éducation « Tell me and I’ll forget, show me and I may remember, involve me and I’ll understand ».Je trouve ces propos tellement vrais. Combien de fois j’ai étudié la matière pour un examen pour réaliser à la suite que je ne me souvenais de presque rien après avoir fait l’examen? Trop souvent…

mardi 8 mai 2012

Ma réflexion d’aujourd’hui

Je suis « brain dead » hehe et je suis certaine que cela parait dans mes billets d’aujourd’hui, je manque d’idées et d’inspiration, j’en ai encore trop dans la tête, ça me prend tout mon petit change pour écrire quelque chose sur mes blogues. La présentation de David Helfand était intéressante, mais malheureusement je décrochais souvent pour aller rejoindre la lune et les étoiles… J’ai hâte à demain pour enfin avoir une journée plus détendue où nous allons pouvoir faire un retour sur ce que nous avons appris jusqu’à maintenant.

Réflexion sur le chapitre 1 du livre de Wright « Brève histoire du progrès »

Les questions de Gauguin 
Ah! Ces fameuses questions : D’où venons-nous? Que sommes-nous? et Où allons-nous? J’évite souvent de me poser des questions de ce genre, car elles finissent souvent par trop me tracasser, mais comme le dit Wright il est important de ce les posés. Selon lui, si on répond aux deux premières questions nous serons en mesure de répondre à la troisième : Où allons-nous.  Pas fou comme idée… Comme je l’ai déjà mentionné l’histoire à propos des chasseurs-cueilleurs et des mammouths m'a beaucoup plus, car, quand je pense aux pièges du progrès cette histoire me vient clairement en tête. Aussi, Wright nous fait aussi réaliser à quel point le progrès avance rapidement. De plus, dans ce chapitre il parle aussi des différentes sortes de progrès, technologique, matériel et moral. De nos jours on fait beaucoup de progrès technologique et matériel, mais on délaisse trop le progrès moral il me semble que de ce coté on régresse…

Collapse


Après avoir visionné le documentaire Collapse hier je ne peux pas m’empêcher de faire une petite réflexion sur ce que j’ai vu et entendu. Le documentaire ne m'a pas choqué du tout. Il a simplement aidé à ajouter sur ce que j’ai appris dans le cours sur le progrès. Par contre, j’étais loin de me douter à quel point tout tourne autour du pétrole et je réalise de plus en plus que lorsque nous allons en manquer, ce sera radical, car je doute que nous puissions trouver un équivalent au pétrole et si oui, nous allons probablement répéter les mêmes erreurs qu’avec le pétrole. Je crois que nous allons devoir changer radicalement nos modes de vie et apprendre à vivre avec ce que la nature nous « donne » sans en abuser. 

lundi 7 mai 2012

La théorie (simplifiée) de l’éducation selon Stephen Downes

a) To educate is to model and to demonstrate

b) Learning is to practice and to reflect

Je crois que cette théorie à bien du bon sens, combien de fois on m’a dit ce que je devrais et ne devrait pas faire par une personne qui ne mettait même pas en pratique ce quelle essayais de m’inculqué. C’est comme dire à un enfant qu’il doit faire sa chambre et que c’est important qu’elle reste propre quand la chambre du parent lui-même est un vrai désordre.  Voilà ce que veut dire pour moi « to educate is to model and to demonstrate ». Comme il est intéressant d’apprendre de quelqu'un qui connaît son domaine et qui est passionné parce qu’il fait. Il est aussi bien plus intéressant d’interagir avec la personne, avoir des discussions entre groupes et de considérer le prof comme faisant partit du groupe. Cela ressemble beaucoup à ce que nous tentons d’accomplir avec le cours sur le progrès à l’université de Hearst. Essayer d’apprendre dans un nouveau contexte que celui habituel où il y a un prof qui enseigne aux élèves et les élèves ne font qu’écouter.

Pour par la suite apprendre, il est important de mettre en pratique ou d’élaborer sur ce qui nous est présenté, comme le dicton le dit « practice makes perfect ». C’est en pratiquant, en élaborant, en ajoutant ces informations à ce que l’on connaît déjà que l’on finit par avoir des connaissances qui nous restent. Il est aussi important de se questionner sur ce que l'on apprend. Il ne faut pas toujours prendre pour acquis que ce que l’on apprend soit la meilleure chose. On n’apprend pas tous de la même manière et il faut se battre pour ce que l’on croit être la meilleure chose pour nous. Comme Stephen le disait, lire du Charles Dickens n’était pas pour lui une manière pertinente d’apprendre et, à sa façon, il le démontrait en boycottant ses quiz sur le sujet.

Petite réflexion sur ma journée

J’ai bien aimé la présentation de Stephen Downes, malgré une barrière linguistique. J’ai tout de même réussi à retenir quelques petites choses… Premièrement, j’ai trouvé très intéressants les différents diagrammes qu’il nous présentait sur le progrès. Cela m’a fait pensé à celui qu’avait crée Elsa la semaine d’avant. On peut voir comment évolue le progrès sous différente manière et c’est la façon dont on choisit de le voir qui dicte nos actes. Aussi j’ai appris que pour que les personnes changent il faut que ça vienne d’eux même, si on leur dit quoi faire ou qu’on les oblige cela ne donnera rien. On peut les aider à avoir une prise de conscience, mais on ne peut pas leur dicter leurs actions. Dernièrement, j’ai aussi retenu qu’il faut croire en ce que l’on fait et essayer de monter l’exemple afin que d'autres puissent apprendre de nous.

Voici mes réflexions sur la présentation d’Hélène Tremblay

Après le cours de jeudi, je suis encore une fois sortie la tête pleine d’idées, toutes aussi intéressantes les unes que les autres. Le problème c’est que je ne savais pas comment consolider ces idées et chaque fois que j’ai voulu écrire sur mon blogue, plein de petits bouts d’informations se bousculaient dans ma tête et je ne savais pas quoi en faire. Voici ce qui explique un peu pourquoi je n’ai pas écrit depuis jeudi passé. Mais finalement après une bonne fin de semaine je suis un peu plus en mesure de faire de l’ordre dans mes idées…

Premièrement, wow!! J’ai vraiment adoré la présentation d’Hélène. Je réalise de plus en plus comment nous sommes chanceux la gang du cours sur le progrès de pouvoir rencontrer des gens qui ont beaucoup à partager avec nous. Hélène est une femme extraordinaire! J’aime le fait qu’elle a pu voyager partout dans le monde et qu’en plus, elle a pu vivre avec ces gens et elle a pu apprendre d’eux. Je trouve que c’est cela la beauté de voyager. C’est non seulement de voir autre chose, mais aussi de vivre autre chose et de découvrir les gens, les cultures, les coutumes, etc.

Hélène Tremblay a abordé plusieurs sujets en salle de classe. Voici ceux qui m’ont le plus frappé… Qui sommes-nous pour dire aux autres qu’ils sont pauvres? Si ces personnes ont de l’amour dans leur vie et qu’ils sourirent à la vie malgré les difficultés? Ils sont déjà bien plus riches que bien des gens sur la terre. Pourquoi s’obstine-t-on à définir la richesse selon son compte en banque ou des biens matériels?

Je trouve qu’Hélène voit juste quand elle nous parle du premier privilège qui est de venir au monde avec des parents positifs, aimants, souriant. Ce sont des besoins primaires. Nos valeurs, nos habitudes, viennent souvent de nos parents. Si tout le monde avait des enfants pour les bonnes raisons, le monde serait sûrement meilleur. Encore une fois, on mentionne qu’il faut apprendre du passé et du présent pour pouvoir avoir un futur. Il faut que les gens comprennent qu’il ne faut pas répéter les erreurs du passé et agir vite pour changer le cours de l’histoire… Pas une tâche facile! Et finalement, il faut briser les murs!! Plusieurs barrières nous empêchent de nous réunir pour changer les choses, il est important qu’on les détruise.

mercredi 2 mai 2012

Mes réflexions sur le cours d’aujourd’hui suite à notre rencontre avec Mathieu Roy

Aujourd’hui ce fût un cours extrêmement intéressant, nous avons eu la visite de Mathieu Roy auteur du documentaire Surviving Progress que je vais visionner ce soir à l’Université de Hearst. Ce documentaire parle surtout les pièges du progrès. J’aime beaucoup l’histoire des mammouths de Wright que l’on a aussi discutée avec Mathieu. C’est essentiellement que les chasseurs-cueilleurs qui ont appris à tuer deux mammouths à la fois au lieu d’un seul ont fait un réel progrès, mais ceux qui ont apprit à en tuer un troupeau en les faisant culbuter au bas d’un escarpement en ont bien trop fait. Voila un piège du progrès, les bienfaits immédiats que procurait toute cette nourriture ont aussi emmené des conséquences bien plus graves pouvant avoir causé une famine puisque des troupeaux entiers étai détruit donc il n’y avait pas de reproduction. Alors, plus de mammouths à chasser. Je trouve vraiment tout comme Mathieu Roy que cette histoire représente bien notre situation. On recherche la gratification immédiate sans penser aux conséquences.

La visite de Mathieu m’en a appris beaucoup, comme la notion de pathologie idéolique, qui est une fois aveugle en une croyance. La pathologie idéologique pourrait aussi expliquer notre situation, on croit dur comme fer que la technologie nous sauvera malgré les preuves du contraire. Tout ce que j’ai appris aujourd'hui me fait vraiment réfléchir à ce que je pourrais faire pour faire et devenir une meilleure personne. Le moyen que nous disposons vraiment en tant qu’individus est de procéder à des petits changements un jour à la fois et essayer de changer nos habitudes même si cela peut nous paraitre difficile. Espérons que l’histoire ne ce répétera pas et que plus de gens prendrons des résolutions pour changer pour le mieux.

mardi 1 mai 2012

Mes réflexions sur le cours d’aujourd’hui

Franchement je commence à être de plus en plus inquiète au sujet de notre avenir. Si avant je menais une vie d’ignorance face au problème majeur que peut engendrer le progrès, me voilà informer! On peut dire que jusqu’à présent les bienfaits du progrès se font attendre! Mais j’aime bien ce cours, car on parle d’absolument tout ce qui peut concerner le progrès et à la fin nous allons essayer de proposer des solutions aux différents problèmes lier à ce phénomène. Le petit vidéo qui nous a été présenté de David Suzuki « Test Tube » est très choquant, il nous fait réaliser à quel point la situation est alarmante et qu’il faut vite agir.

Question : Qu’est-ce que la notion d’anthropocène vous dit sur votre avenir?


Anthropo quoi? Pour moi ce mot était comme du chinois, je n’en avais jamais entendu parler avant le cours d’aujourd’hui. Grâce au blogue d’autres étudiantes du cours et aux vidéos postés sur le blogue des profs, j’ai réussi (je crois) à comprendre l’essentiel de ce que représente ce mot. Je crois que j’en ai encore beaucoup à apprendre au sujet de la notion d’anthropocène et sur toutes les problématiques qui entourent cette notion. Alors, si j’ai bien compris l’anthropocène serait une nouvelle ère où les humains auraient un certain contrôle sur la nature. Ce n’est plus la nature qui domine, nous exerçons maintenant un pouvoir sur elle. Mais est-ce vraiment un réel contrôle que nous avons sur la nature?

Je ne crois pas que l’on puisse totalement contrôler la nature. Il pourrait sembler comme si nous la contrôlons, mais à la fin, si nous ne changeons pas nos habitudes,  la nature va fini par nous montrer qui est le «boss»! Donc, qu’est-ce que la notion d’anthropocène me dit sur notre avenir? C’est qu’en ce moment il n’est pas bien rose, puisque nous croyons avoir un contrôle sur la nature, on y fait moins attention, pensant que l’on peut tout réparer ou nous sortir du pétrin avec la technologie. Nos ressources s’épuisent par notre faute et très peu est fait pour remédier à la situation et nous assurer un avenir meilleur s’il n’est pas trop tard, car plus le temps avance et on ne fait rien plus on s’approche du point de non-retour. Comme il a été mentionné dans le cours il faut se secouer et sortir de notre confort et démonter que notre planète nous tien à cœur.

lundi 30 avril 2012

Bonjour à tous!

Voici mon blogue créé dans le cadre du cours Comment survire au progrès?.
Quelles raisons m’ont poussée à m'inscrire dans ce cours? C'est très simple, j'aime apprendre et enrichir mes connaissances. Le progrès est un sujet dont je parle souvent sans m'en rendre compte, comme quand je me plains à propos des ordinateurs, ou quand je me dis que la technologie avance trop vite, je parle du progrès. Par contre, je n'avais jamais vraiment discuté du progrès en profondeur ou essayer de comprendre ce que c'est et jusqu’où cela va nous mener. Donc, j'ai décidé de m'inscrire au cours parce que le sujet m'intéressait grandement. J'ai aussi décidé de m'inscrire parce que le nouveau format de cours en bloc a piqué ma curiosité. Je voulais essayer du nouveau, qui me permettrait de découvrir autre chose (comme le blogue) et qui me ferait sortir de ma zone de confort. Le fait d'avoir quatre professeurs m’a aussi incité à m'inscrire, car trois des profs ne m’ont jamais enseigné et puisque j'ai entendu de très bons commentaires à leur sujet je me suis dit qu’il serait intéressant de les avoir comme professeurs et ainsi d’aborder le sujet du progrès sous différentes perspectives.
Qu'est-ce que le progrès pour moi? Grâce aux discussions que l’on a eu lieu dans le cours de ce matin, je suis en mesure de mieux définir ce que représente le progrès pour moi. Premièrement, le progrès est une notion qui touche toutes les sphères de notre vie. On pourrait en parler et essayer de le définir pendant de longues périodes de temps et il y aurait toujours quelque chose à y ajouter. Le progrès est tout d’abord un avancement, qu’il soit positif ou négatif on progresse dans le but de s’améliorer, d’améliorer quelque chose ou améliorer une situation. De nos jours, il me semble que le progrès ne connaît pas de limites. Pour moi, il est impossible de ne pas progresser même si c’est un très petit progrès. Ce qui est peu être parfois inquiétant c’est la vitesse à laquelle le progrès avance.
Voici ma tentative de définition pour le progrès J
À la prochaine,
Lisa