vendredi 18 mai 2012

Un petit mot de la fin…

Toutes bonnes choses à une fin comme qui disent. Je souhaite mentionner que j’ai vécu une expérience très enrichissante dans le cours : Comment survivre au progrès. Je me sens même privilégiée d’avoir pu faire partie de cette expérience que je n’oublierais jamais. Je vais m’ennuyer de la petite famille qu’on s’est créée, j’ai rencontré plein de gens intéressants! Finalement, je souhaite remercier les professeurs qui ont travaillé fort pour rendre ce cours le plus intéressant et enrichissant possible et c’est mission réussie! Je me considère maintenant une personne meilleure grâce aux choses que j'ai apprises dans ce cours!

Le chapitre 5 du livre de Wright

En lisant le chapitre 5, je réalise à quel point notre civilisation est à un point critique et qu’il faut faire des changements rapidement. Notre société est fragile. Dans le livre, on la compare à un château de cartes. Je trouve que cela démontre bien que si nous continuons comme on le fait et continuons d’ignorer la situation, le temps venu, notre civilisation ne sera pas plus forte qu’un château de cartes. Certains prédisent que cela pourrait se passer dans les prochaines générations. Ça me fait peur de réaliser que peut-être que mes enfants vivront l’effondrement de notre civilisation.

Wright dit : « Chaque fois que l’histoire se répète, le prix augmente ». Je le crois puisque cette fois-ci ce n’est pas seulement une civilisation quelconque comme les Mayas ou les Romains qui risquent de périr, mais bien la population de la planète entière puisque nous sommes une seule civilisation. Comme Wright le mentionne aussi le système dans lequel on vit présentement est une vraie machine à suicide. Si nous ne changeons pas dès maintenant pendant que nous prospérons, Wright dit que nous ne serons jamais capables de le faire dans les temps difficiles et notre destin s’échappera de nos mains… Je crois aussi que cela est vrai, car en temps de crise les humains ont tendance à devenir violents.  Comme Noémie le dit souvent lorsque la civilisation s’effondrera et qu’on mourra tous de faim, au lieu de s’aider, on risque de s’entretuer pour une carotte.

mercredi 16 mai 2012

Réflexivité

Aujourd’hui, nous avons discuté de la GRANDE transition, c'est-à-dire que nous avons discuté de certains changements qu’il faudrait effectuer comme société. J’ai accroché sur « Rendre les BONNES choses à bas prix et les MAUVAISES coûteuses ». Je trouve cela tellement vrai, combien de fois je me suis demander quand j’allais à l’épicerie pourquoi les croustilles, les sodas, les bonbons,  la nourriture en boîte de conserve, etc. coûtent moins cher que les légumes, les fruits, que la vraie et bonne nourriture. Je trouve que cela ferait une grande différence pour nous si les BONNES choses étaient plus accessibles.



Question : Qu’est-ce que le progrès? – partie 2

Pour ce billet, il nous est demandé de revisiter cette question selon quatre aspects ou échelle

·         Soi

·         Communauté

·         Société/Nation

·         Humanité

Ceci à pour but de vérifier si notre définition du progrès à changé depuis le jour 1 du cours.

Je dirais que ma définition du progrès a évoluer. Je crois encore que ma première définition est correcte, mais il y a certaines choses que je peux y ajouter. Premièrement, le progrès peut se voir de différentes manières et c’est la façon dont on le perçoit qui dicte nos agissements face à celui-ci. Par exemple si on le voit d’une façon linéaire et qui est un but à atteindre on va toujours vouloir plus et plus. Moi je le vois comme un mode de vie, cela commence par soi, se poursuit par la communauté et ce termine par l’humanité. Il est aussi important de considérer l’éthique avec le progrès, chose que l’on ne fait pas trop de nos jours. Je sais aussi qu’il faut penser au long terme avec tout progrès, car si on ne le fait pas il peut y avoir des conséquences graves. Il y a du progrès à faire sur les quatre aspects. Pour le soi : nous devons travailler sur nous même comme individus avant d’essayer de changer la terre entière, il faut commencer par des petits gestes à la fois, il faut arrête de penser juste à notre petite personne. Comme communauté, il faut s’entraider et essayer de montrer un exemple pour que d’autres villes veuillent faire comme nous. Comme société, il faut changer notre mentalité de consommation et de production et arrêter de se laisser piler sur les pieds par le gouvernement et les élites. Finalement comme humanité il faut se mobiliser et mettre nos efforts ensemble pour avoir un mode meilleur.

Réflexivité

Hier nous avons tenté de répondre à une question en classe du genre : pourquoi est-il si difficile d’implanter des changements même s’ils sont dans le but de sauver notre civilisation? Plusieurs réponses en sont ressorties. Pour sauver notre civilisation, il faut faire des changements au niveau individuel et au niveau de la société. Alors quelles sont les raisons qui nous empêchent de changer individuellement?

·         Dette, coût, argent

·         Découragement, sentiment d’impuissance, incertitude

·         Jugement des autres

·         Confort, habitudes, paresse

·         Manque de temps

·         Manque d’indignation

·         Médias

Quelles sont les raisons qui nous empêchent de changer au niveau de la société?

·         Capitalisme, économie

·         Discrimination

·         Pouvoir de l’élite

·         Manque de cohésion sociale

·         Manque de démocratie

·         Foi aveugle en la technologie

·         Priorité, temps

·         Médias

·         Système d’éducation (réforme)

Personnellement, je trouve que nous sommes bien bons pour nous trouver des excuses et évité de changer. On est bien dans nos petites vies, mais comme je l’ai déjà mentionné dans un autre billet il faut accepter de vivre avec le déséquilibre et sortir de nos bulles.

           « Be the change you wish to see in the world » — Gandhi





mardi 15 mai 2012

Six conférences

Six conférenciers, six domaines différents, carte blanche, un même message. L’effondrement de notre civilisation.

Le message n’a pas été délivré de la même façon pour chaque personne, mais il veut essentiellement dire que nous devons apporter des changements à notre société, sinon il y aura des conséquences, on ne peut pas continuer de vire comme on le fait. Évidemment, le progrès a été discuté dans chaque présentation, mais aussi on se questionnait à savoir ce qu’est le réel progrès. Dans chaque présentation, il a aussi été question de foi aveugle en la science et la technologie, c’est un peu ce qui nous empêche de changer. La croyance que la technologie nous sauvera et dans chaque présentation la réponse est la même : non! Elle ne nous sauvera pas.

La présentation de Serge Bouchard

« Si la planète entière était américaine, y’en aurait pas d’problème! ». J’ai bien ri quand j’ai entendu Serge dire cela! Mais mon but n’est pas de critiquer les Américains, mais plutôt de parler de barrières. Des barrières que l’on s’impose: linguistique, culturelle, raciale, politique, économique, etc. il y a tant de barrières qui nous séparent les uns des autres. Si nous abattions ces barrières peut-être serions nous capable de nous rassemblés et de créé du changement, il y aurait peut-être mois de discrimination, d’abus, de guerres. La solution n’est pas de tous devenir américain (loin de là), mais d’arrêter de s’éloigner, de se créer des différences, de bâtir des murs. Si on fait cela, le mur sur lequel nous allons nous heurter de plein fouet va peut-être s’écouler lui aussi…