samedi 12 mai 2012
Le chapitre 2 du livre de Wright
Franchement, je ne sais pas quoi dire d’autre que nous
tombons toujours dans nos propres pièges. Cela commence par le perfectionnement
de la chasse et ça se poursuit avec l’agriculture. Pour moi c’est cela un piège
du progrès, bien sûr au début on ne le sait pas que nous sommes en train de créer
un piège, jusqu'à ce que l’on tombe dedans. On pense constamment à la
gratification immédiate sans penser aux conséquences. On perfectionne nos armes,
youpi!, on chasse mieux, on chasse plus, jusqu’à ce qu’il n’y a plus rien -__-,
beau progrès… On épuise nos ressources jusqu'à ce que l’on ne puisse plus rien
faire avec. Nous avons été chanceux de tomber sur l’agriculture, mais encore
une fois on en profite trop. Ce qui m'a frappé aussi dans le chapitre deux est
à quel point on se croit civiliser et meilleur que nos ancêtres, mais finalement
la civilisation n’est en effet qu’une belle promesse. Bien sûr, la civilisation
est une bonne chose puisque c’est la seule façon de faire vivre l’humanité,
mais nous ne savons pas comment nous conduire de façon « civilisée » entre
nous, puisqu’il faut toujours avoir plus que les autres, être plus important que
les autres, etc.
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